Une voie verte qui monte et qui descend (à moins de 3%) ! C’est au village des Nonières que culmine cette étape, mais pour grapiller quelques mètres d’altitudes, la piste passe par un long tunnel sous le Col des Nonières. Il s’agit du plus long tunnel de la Dolce Via (320 mètres), mais il est heureusement éclairé. Ce n’est pas le seul : de nombreux tunnels, ponts, viaducs et soutènements ponctuent le tronçon, pour rompre la monotonie de la voie verte, surtout du côté de Lamastre (il y a peu de vues, le parcours est très boisé). Du côté du Cheylard, on peut davantage profiter du paysage, avec les Boutières et la Montagne Ardéchoise en fond.
Attention : le revêtement n’est pas toujours aussi lisse et roulant que le parcours de la Dolce Via qui longe la Vallée de l’Eyrieux, et le dénivelé est un peu plus important… ce qui peut donner parfois l’impression de ne pas avancer.
Pour les vélos de route ou les claustrophobes, la D578 qui parcourt la vallée de la Sumène est une bonne solution. Attention en saison touristique : il peut y avoir du trafic routier.
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