La découverte hors du temps d’une des plus belles vallées typiquement cévenoles, entre schiste et granite, qu’on retrouve en bord de route mais aussi sans la construction du bâti traditionnel, lors de la traversée des différents hameaux et du village de Sablières. La forêt est omniprésente, essentiellement du châtaignier (arbre à pain) et du chêne.
Le petit surnom de la Drobie est « le ruisseau de la Femme Morte », puisque sa source se situe au lieu-dit du même nom, près du Col de la Femme Morte (voir CA-7).
Sablières (qui aurait été fondée par les Sarrazins au 9ème siècle) n’a pas toujours été un petit hameau perdu dans les Cévennes : au 18ème siècle, il y a davantage d’habitants à Sablières qu’à Joyeuse, et sa population culmine jusque 1500 habitants !
Une pause-baignade au Pont du Rouge, qui date du 16ème siècle. Avant la construction (tardive) de la route actuelle qui rejoint Joyeuse, c’est en traversant ce Pont que les habitants de Sablières pouvaient commercer avec les villes les plus proches. S’il porte ce nom, ce serait en référence au Baron de Ligonès qui le fit construire, et dont la réputation de cruauté lui attribua le surnom de « baron rouge sanguinaire ».
Nous vous proposons la version longue, qui emprunte une petite route blanche (très étroite et parfois dégradée) avec des vues à couper le souffle. Cela dit, vous pouvez court-circuiter et rester sur la route principale.
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